Partout sur la planète, les épisodes climatiques extrêmes se succèdent. L’humanité est entrée dans une zone de dangers et de souffrances qui va aller en augmentant. C’est en substance ce qui ressort du dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
Celui-ci, sorti en août, alerte encore une fois et avec davantage de sévérité sur les conséquences dramatiques de l’entêtement de l’humanité à ne pas vouloir diminuer ses émissions de gaz à effet de serre. Selon le GIEC, limiter le réchauffement mondial à +1,5°C ne serait possible qu’avec une baisse immédiate et à large échelle de ces émissions, ce qui est faisable uniquement en abandonnant totalement et rapidement les énergies fossiles. Sans cela, selon les différentes projections, le réchauffement serait beaucoup plus élevé, de trois à six degrés, ce qui pourrait provoquer «l’anéantissement de la majorité des espèces vivantes» et l’effondrement de la civilisation humaine actuelle.
L’appel irrésistible de Dieu
Face à ce constat, un nombre grandissant de chrétiens s’engagent pour que l’humanité change de trajectoire. Mais est-ce possible? «Oui! Car l’humanité est déjà […]