Une majorité méprisée par une intelligentsia jugée auto-suffisante, des Miles gloriosus croyant faire partie du camp du « bien » et des médias souvent ignorants des réalités du terrain, vient de décider de son futur. Il est certain que la plupart des médias européens, dont les analyses superficielles n’ont parfois d’égale que leur subjectivité et biais idéologiques, ne comprendront pas ce phénomène et donneront dans la psychologie/politique de comptoir pour tenter de l’expliquer.
Pourtant, des millions d’hommes et de femmes ont posé un choix qu’ils estiment rationnel et préférable à l’autre alternative qui leur était offerte. Entre la « peste » et le « choléra », ils ont volontiers choisi la peste, certains espérant même que cette « peste » soit en réalité une « alternative », un « espoir » voire un « renouveau ». […]