Il faut éviter, en relations internationales, de tomber dans le travers de la « kremlinologie » du passé face à l’URSS, c’est-à-dire de tout définir à partir des élites politiques, économiques et administratives à un moment donné. Mais inversement, on ne peut pas parler de politiques ou de grandes évolutions internationales sans prendre en compte les personnes qui les incarnent.
Or ces dernières semaines, en Asie du Sud, deux nominations ont été particulièrement remarquées par les commentateurs régionaux : celle de […]