En attaquant à l’arme chimique la ville de Khan Cheikhoun, tenue par les forces rebelles, le dictateur syrien a franchi une étape supplémentaire dans l’horreur. Cette attaque rappelle celle d’août 2013, plus meurtrière encore, qui avait été suivie d’un accord sur le démantèlement de l’arsenal chimique syrien. Il est clair que tout n’a pas été détruit et que Bachar el-Assad a trompé les inspecteurs internationaux.
Les images bouleversantes de ce nouveau crime de guerre, présentées à la face du monde par l’ambassadrice américaine à l’ONU, témoignent du double jeu du président syrien, qui n’a pas craint de violer une nouvelle fois […]