Globalement, le moins que l’on puisse dire, c’est que ce bilan est contrasté. Mais il ne faut pas oublier que sa diplomatie ne s’est pas construite sur une table rase : dans ces régions du monde comme ailleurs, Obama a tenté de reconstruire ce que l’administration Bush avait en partie détruit ou établi dans une logique plutôt négative, court-termiste, potentiellement dangereuse.
Intérêts militaires importants
Sur l’Asie centrale il a confirmé une évolution déjà visible sous la deuxième administration W. Bush mais qu’il a rendu plus […]