Un accord établi lors de la création d’Israël les exemptait pourtant de taxes financières.
Trouver un équilibre entre les besoins concrets de la ville sainte qui fait face à des difficultés financières et les besoins des nombreuses institutions qui forment son riche patrimoine religieux n’est pas une tâche facile. Cet équilibre a été bouleversé le mois dernier, selon les dirigeants des Églises chrétiennes. Ils ont reçu des factures d’impôts fonciers totalisant des millions de dollars, applicables à toutes les propriétés de l’Église qui ne sont pas de véritables lieux de culte. La levée de ces impôts a été menée par le maire Nir Barkat, qui veut consolider la petite assiette fiscale de la ville.