L’action a eu lieu dans la nuit du 2 au 3 janvier, dans l’enceinte de l’aéroport de Bagdad. Une frappe de drone américain a tué le général Ghassem Soleimani, chef de la Force al-Qods, les troupes d’élite des Gardiens de la Révolution iraniens. L’attaque a également coûté la vie à Abou Mahdi al-Mouhandis, commandant d’une milice irakienne pro-Téhéran, les Unités de mobilisation populaire.
Le Pentagone a rapidement revendiqué l’action. Dans un communiqué, le département de la Défense américain ainsi déclaré que le “général Soleimani travaillait activement à planifier des attaques contre des diplomates et des militaires américains en Irak et dans la région. Cette frappe avait pour but de dissuader de futurs plans d’attaques iraniens.”
Cycle de représailles
Les autorités iraniennes, elles, ont juré de venger la […]