L’élection de Rohani pour un second mandat présidentiel a suscité un grand espoir : son camp unifie réformistes, modérés, et même le « centre droit » dans le pays ; il a gagné sur un programme positif, de rapprochement et de compromis avec l’Occident. Du côté iranien, c’est un signal envoyé au reste du monde : le peuple dans sa grande majorité veut d’abord la paix et le développement économique.
Y compris au plus haut niveau du régime : Khamenei, le Guide de la Révolution, premier personnage de l’État, avant le président de la République, a été très clair pendant la campagne présidentielle. Il a refusé de soutenir […]