Les sept militants de Briançon, jugés pour aide aux migrants ont été condamnés par le tribunal de Gap,  le jeudi 13 janvier à des peines très lourdes : six mois d’emprisonnement avec sursis pour cinq d’entre eux, douze mois dont quatre ferme pour deux militants, l’un pour rébellion lors de son arrestation, l’autre parce qu’il aurait masqué son visage au cours d’une manifestation. « C’est peu dire que nous sommes surpris, déplore Christophe Deltombe, président de la CIMADE. A titre personnel, j’étais quasiment convaincu que les accusés seraient relaxés parce que […]