L’ouverture du village olympique a permis quelques ajustements, dont celui de la taille des rations servies aux athlètes. Quand au système d’interception des drones, il semble prêt. Enfin le 24 juillet de l’année 1702, marquait le début de la guerre des Camisards.

Des rations plus copieuses

Un judoka de 100 kilos ne mange pas comme une gymnaste de 45 kg. Depuis l’installation des athlètes au village olympique, le manque d’aliments et la vitesse de réapprovisionnement ont été critiqués, écrit L’Équipe. Au début de la semaine, le nombre d’œufs était, par exemple, insuffisant. La vitesse de réapprovisionnement a également été pointée du doigt. Près de 40 000 prestations quotidiennes sont prévues au village, notamment au restaurant principal d’une capacité de 3 300 places assises. Sodexo Live !, affirme “prendre très au sérieux” les retours des athlètes et “travailler activement pour adapter nos approvisionnements à la montée en puissance des restaurants du village des athlètes ainsi qu’à la consommation effective constatée sur les premiers jours.” Les œufs et les grillades sont “particulièrement prisés et les volumes ont donc été renforcés” et le groupe est également en mesure de “satisfaire les besoins des athlètes” en matière de quantité, explique-t-il, dans un communiqué.

De nombreux drones interceptés

En visite sur la base aérienne de Villacoublay, mardi 23 juillet, Gabriel Attal a fait le point sur le dispositif de lutte anti-drones mis en place dans le cadre des Jeux olympiques. Selon le Premier ministre démissionnaire, “depuis une dizaine de jours, en moyenne six drones ont été interceptés chaque jour aux abords des infrastructures des Jeux”, rapporte TF1. Parmi eux, ceux de touristes simplement désireux de prendre des photos. “La sécurisation de l’espace aérien et notamment la lutte anti-drones font partie des priorités”, a souligné Gabriel Attal. Et d’ajouter : “Rien ne doit pouvoir nous échapper. C’est la raison pour laquelle des systèmes de détection, de brouillage, d’interception, des moyens de défense sol-air sont déployés sur la plaque parisienne à l’occasion de la cérémonie d’ouverture, mais aussi sur les lieux qui accueilleront des épreuves.”

Début de la guerre des Camisards

Le 24 juillet 1702, le jour de l’assassinat de l’abbé du Chayla, marque le début de la guerre des Camisards. Lassés d’être persécutés en raison de leur foi, les Cévenols ont décidé de prendre les armes et libérer leurs coreligionnaires emprisonnés et maltraités par l’abbé du Chayla au Pont-de-Mauvert, rappelle Mon Calendrier protestant. Le catholique est tué alors qu’il tente de s’enfuir.