Quand je reparcours les arêtes de cette existence, je constate qu’il fallait avoir sa puissance intellectuelle et sa ténacité pour oser ferrailler avec Rome tout en affirmant, contre vents et marées, qu’il parlerait toujours de l’intérieur de l’Église, convaincu que leur honneur à tous deux était de défendre les valeurs évangéliques de liberté, de tolérance, d’accueil de l’autre.
Le combat de David contre Goliath
En cette seconde moitié du XXe siècle où l’Église a été confrontée aux questions des droits de l’homme, de l’émancipation des femmes, de la liberté d’expression, du dialogue interreligieux, de l’ajustement dogmatique aux […]