Au soir du 23 avril tout semblait « plié » au point d’oublier que les batailles se mènent jusqu’à leur terme et rien n’est joué d’avance : le morcellement de notre pays et ses fractures réelles rendent difficile la formulation de valeurs communes.

J’ai plutôt une vision positive du quinquennat qui s’achève, regrettant de m’être tu quand tout un chacun le parait de toutes les ignominies. Au premier tour, aucun candidat ne se référait vraiment à la mandature accomplie : au lieu d’un pugilat sur le bilan, cela a permis de se projeter sur […]