Discrète sur la maladie qui la rongeait, discrète aussi sur la perte de son mari qui l’avait laissée « comme abandonnée » selon ses propres mots, Martine Millet laisse une trace, une empreinte, indélébile sur la vie de notre Église. Pasteure, elle porta toujours le souci des petits, dans tous les sens de ce terme. Elle s’occupa beaucoup de la catéchèse et en fit un vrai ministère, un vrai service. Mais elle portait aussi le souci de la formation des adultes, par son engagement dans la formation théologique, même au niveau européen. Chacun doit pouvoir grandir.

Mais cette aide aux « petits », que nous sommes un peu tous, ce fut aussi les services qu’elle put rendre, sans jamais les mettre en avant, à des paroisses en situation de difficulté passagère. Elle le fit, par exemple, dans ma paroisse de […]