Ils étaient partis sous statut de VSI, de service civique, ou même en tant que pasteur… Ces trois journées leur ont permis de faire le point sur leur mission, d’évoquer ensemble ce qu’ils avaient vécu sur place… et de préparer l’avenir.
Jours de joie et jours de galère, moments partagés avec les partenaires sur place, moments de victoire en cours de mission, mais aussi moments de stress, de doute, de solitude… L’expérience de l’envoi en mission de solidarité internationale est toujours décapante. Elle pousse à des remises en question, change les perspectives que l’on peut avoir sur le monde, sur soi-même et sur l’avenir que l’on cherche à construire… Elle pose aussi la question de l’engagement lui-même, de son utilité, de sa durée, du cadre dans lequel il s’exerce…
C’est justement parce que tout envoyé qui part sera nécessairement confronté à de l’inconnu […]