Qui invoque et donne la bénédiction ? Pour qui ? En vue de quoi ? Comment peut-on la considérer ?
A-t-on «droit» à une bénédiction, ou est-ce réservé à certaines personne ? Doit-on la mériter ? Y a-t-il une «force» attachée à des paroles particulières, à des gestes, voire à des objets bénis? Où tombe-t-on dans les succédanés superstitieux, voire l’exploitation de la crédulité?
À toutes ces questions et à bien d’autres, Élisabeth Parmentier tente de répondre, et de mieux cerner l’attraction exercée par cet étrange désir d’être bénis.