Cette fois-ci je vous propose de prendre cette chronique au second degré, voire au troisième ou quatrième. De donner un peu de fantaisie à notre lecture de l’actualité et à celle de la Bible. La situation est tellement préoccupante qu’il est peut-être sain de ne pas rajouter à la déprime. Et toute prise de position un peu précise risquerait de provoquer des réactions épidermiques chez les lecteurs de Réforme.

Or nous savons que notre bien-aimé hebdomadaire est sujet à des vagues de désabonnements dans les périodes électorales, chacun considérant que son journal est partisan, et pas du bon côté, bien sûr.

Alors voilà, je me suis aperçu comme beaucoup d’entre vous que les noms de plusieurs de nos prétendants à l’Élysée finissaient par « on ». De gauche à droite : Mélenchon, Hamon, Macron, Fillon.

Or il y a un certain nombre de personnages bibliques dont les noms ont aussi cette terminaison ou quasiment. […]