Presque deux mois de confinement, de changement de rythme, de promiscuité familiale ou au contraire de solitude et d’isolement extrême. Deux mois que tous nos dérivatifs pour décompresser ne sont plus accessibles. Dans des moments inédits comme celui que nous vivons, quand tout a l’air de s’écrouler, on se dit que c’est l’occasion pour les croyants de briller, de montrer qu’ils tiennent bon, et même qu’ils gèrent ce stress mieux que les autres.

Après tout, la Bible prône des valeurs de famille, de patience, de tolérance. C’est donc le moment ou jamais de prouver que je suis un bon/ une bonne chrétienne : sourire fermement en place, idées toute la journée pour occuper les enfants et présence rassurante pour le conjoint, l’ami au téléphone ou le […]