Il est aussi le tout premier manifeste de ce qui allait devenir la branche proprement réformée du protestantisme.

Enfin traduit en français, ce document laisse transparaître nettement ce qui a d’emblée distingué le courant réformé du courant luthérien. Zwingli l’a écrit en moyen haut allemand de l’époque, à destination de ses anciens paroissiens de Glaris, pour les mettre au courant des discussions et controverses qui avaient précédé la dispute au terme de laquelle Zurich est passé à la Réforme, et tenter de les y rallier à leur tour.

Il l’a fait avec une liberté de ton, un mordant, voire une manière populaire de dire et envisager les choses qui font de ce document un témoin important et savoureux de ce qui s’est joué au XVIe siècle.

Présentation, traduction et notes de Bernard Reymond.

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