À première lecture, ce discours apocalyptique semble bien irréel aujourd’hui : des signes dans le soleil, la lune et les étoiles, des nations dans l’angoisse, les puissances des cieux ébranlées, le Fils de l’Homme entouré dans une nuée.

Mais n’est-ce pas le propre de ce genre littéraire (le discours apocalyptique bien connu dans le judaïsme) que de manier un langage ésotérique ? Avec le même symbolisme que le langage des prophètes et l’annonce de la fin des temps qui s’accompagnera du retour du « Fils de l’Homme ». Je confesse humblement que ce discours me met dans l’embarras parce que je n’y comprends pas grand-chose.

Et pourtant, dans une deuxième lecture qui […]