Consoler, c’est difficile. La plupart d’entre nous ne savons pas comment nous y prendre. On préfère banaliser, ignorer. Face à l’annonce d’une maladie ou d’un décès, on ne sait ni quoi dire, ni quoi faire alors on ne fait rien. Mais ce n’est pas une fatalité. On peut toujours apprendre, même à consoler. C’est ce qu’Anne-Dauphine Julliand nous partage: ce qui l’a consolée dans la souffrance après avoir perdu deux de ses enfants.
Le livre Consolation (éd. Les Arènes) d’Anne-Dauphine Julliand est à mes yeux une œuvre d’art: sous sa plume, les mots résonnent profondément en moi. Ils touchent mon cœur, moi qui me sens si démunie devant la souffrance des […]