Pour Marshall Rosenberg, théoricien de la Communication non violente (CNV), la majorité des interactions verbales abuse d’interprétations, jugements et critiques. C’est ce qu’il qualifie de communication «chacal». Cette communication établit des rapports de force où il s’agit de «saisir» l’autre, le tenir sous le joug de nos peurs, projets et projections. […]
Et si on parlait de communication non violente !
La famille, l’endroit idéal pour oser exprimer ses sentiments, ses peurs et ses faiblesses. Pour créer un climat sécurisant, la bienveillance est indispensable.