Lorsqu’elle rencontre l’homme de sa vie et qu’elle se sent prête à accueillir un enfant, le temps passe et l’enfant tarde. Elle vit alors ce temps d’attente comme une punition, d’autant que le corps médical ne cesse de soulever toutes les raisons hormonales ou physiologiques qui freinent la possibilité d’une grossesse.

«  À un moment je m’en suis remise à la vie, parce que j’ai puissamment foi en la vie. » 

Cet acte d’abandon lui a permis de regagner une forme de sérénité et finalement, Jules est entré dans sa vie.

Le chamboulement physique et psychologique de la grossesse a suffisamment secoué Astrid Veillon pour qu’elle en fasse un livre*. Cependant, elle ne se donne […]