…il n’en reste pas moins vrai que la grisaille d’un quotidien de transgression et d’agressivité ou tout au moins de susceptibilité et de fragilité, offre aussi (ouf !) de petits coins de ciel bleu, de petites ouvertures (je pourrais dire des « fenêtres de tir », mais de « tir d’Amour maternel » dans ce cas !)
En tous cas, on peut « tirer » partie de ce qui se passe pour (re)créer du contact, et notamment du contact physique.
Ah oui ?
Oui c’est possible… lorsque nos grands dadais ronchonnent, de leur faire un câlin ! […]