Pour beaucoup de nos contemporains, l’été évoque une période de repos, sauf pour les agriculteurs, en pleine période des foins ou de castrage du maïs, les professionnels du tourisme et les coureurs du Tour de France…
Mais pour les autres, ils prennent des congés que l’on qualifie si souvent de « bien mérités » ! Nous voilà devant le paradoxe de l’être humain. D’un côté, nous affirmons que tout se gagne, tout se mérite, même le repos. Le travail serait même pour certains une valeur. Mais, en même temps, comme protestants, nous défendons […]