En fait, je crois que ça me fait du bien pleurer. Je pleure certainement parce qu’ils sont grands et parce que moi, je me sens toute petite.
Reconnaissance et honneur d’être leur mère. Fierté d’avoir pu leur donner, je crois, tout ce dont ils ont besoin pour affronter une nouvelle étape de leur vie.
Doutes et regrets sur mes “peut-mieux-faire”. Soulagement de tourner une page. Peur d’ouvrir un nouveau chapitre.
Car c’est aussi ma rentrée, l’ouverture des possibles (pendant quelques heures par jour, n’exagérons pas), le retour à la réalité, la frousse de ne pas y arriver. […]