Son engagement a démarré à la mort de son mari, enseignant missionnaire. Mère de trois enfants, elle ne travaille pas à l’époque. Elle décide pourtant de parrainer trois enfants de différents pays. Un remède contre le repli sur soi, mais surtout l’affirmation d’une confiance absolue en Dieu et en sa provision pour sa famille.
Comment avez-vous vécu cette démarche en famille ?
Au début, nous parrainions un garçon d’Éthiopie, une fille de Thaïlande et une du Burkina Faso. Nous allions chercher dans le dictionnaire pour repérer où ils habitaient. Il y avait là une démarche de pédagogie générale : histoire, géographie, conditions de vie, agriculture, climat, etc.
Quand les photos des enfants arrivaient, nous les mettions dans la maison. Nous recevions des lettres et les lisions en famille. Il y avait aussi […]