« Une semaine sur deux, je vis pour moi et j’assure un maximum d’engagements professionnels, extra-professionnels et extra-familiaux. La suivante, je gère l’agenda de mes enfants et assure la logistique familiale », témoigne Didier, père de deux enfants et divorcé depuis trois ans. Par chance, son employeur pratique un horaire de travail flexible. Dans la mesure où le volume de travail le permet, il travaille plus une semaine et moins la suivante.
Mais trouver un bon équilibre entre vie professionnelle, vie familiale et vie sociale est compliqué. Un des défis de Didier, c’est de dégager du temps pour lui-même, pour se ressourcer. « La semaine où je travaille beaucoup, je rentre fatigué. Je n’ai plus l’énergie d’entreprendre une activité sportive ou de lire un bon bouquin. J’ai tendance à procrastiner durant la fin de la soirée. Et quand les enfants sont à la maison, j’ai l’impression […]