De la soupe. En ce soir de début janvier, tout ce à quoi mon estomac aspire, c’est de la soupe. Après le marathon gustatif des fêtes (allez, soyons honnête, on peut carrément parler de suicide gastrique à la mode alsacienne), je ne rêve que de légumes et de fruits sous toutes leurs formes : crus, cuits, en compote ou en smoothie. Pourtant, il y a encore des restes. Mon frigo regorge de mont d’or, de truite fumée et autres marrons glacés à terminer. Mais mon estomac n’en peut plus : il demande une trêve.
Même chose pour mon cerveau : il a besoin d’une pause. […]