Il y a les impondérables : le petit dernier qui attrape la varicelle le jour du départ. Votre bébé qui fait ses dents et vous réveille toutes les nuits en hurlant.
Et puis il y a les faux impondérables. J’entends par là, les éléments qui ont l’air d’être impossibles à changer.
Mais seulement l’air.
Bérénice est tétanisée à l’idée de passer les vacances annuelles chez ses beaux-parents :
« Je vais encore devoir supporter que ma belle-mère décide de tout, qu’elle dise à son fils – mon mari – qu’il ne devrait pas manger ci ou ça, ça m’exaspère d’avance ». […]