Le film n’est pas sans rappeler Un triomphe d’Emmanuel Courcol (2021) dans lequel Kad Merad interprétait un comédien en galère qui anime un atelier de comédie dans une prison pour hommes. Toutefois le film d’Etienne Comar prend une direction différente même si on y retrouve les mêmes vertus de tolérance, d’amitié, de joie. Son propos n’est pas de nous parler de la prison. Celle-ci n’est qu’un décor, de ces prisons modernes aseptisées qui ressemblent davantage à un asile psychiatrique. De la prison on ne verra que les gardiennes, les formalités tatillonnes pour y […]