Mortimer Brewster est célèbre pour ses écrits ridiculisant le mariage. Mais il tombe amoureux et, pour rencontrer la belle Hélène, se met à fréquenter deux vieilles parentes chez qui vit son frère, lequel sonne le clairon et se croit Président des États-Unis. Débarque l’autre frère qu’un pseudo-docteur alcoolique a charcuté en Frankenstein, tandis qu’on découvre que le vin des tantes n’est pas innocent…
La transposition du théâtre au cinéma est évidente, tout le film se déroulant dans le salon des tantes où les personnages entrent et sortent par les portes, la fenêtre, l’escalier – les quelques extérieurs se bornant au trottoir ou au jardin. De même, les mimiques virtuoses de Cary Grant pourraient être admirées du fond des balcons d’un théâtre. […]