Ce qui nous lie‘, étymologiquement, c’est une religion — ici, bien sûr, celle du vin, exprimée d’abord par le paysage qui sera le principal personnage de ce récit solidement enraciné. Paisibles et magnifiques coteaux habillés à perte de vue de vignes drues et ordonnées, animés par endroits de bosquets, chemins ou murets ; couleurs passant au fil des saisons par toutes les nuances de verts, jusqu’aux ocres de l’automne et aux blancs de la neige… Un message d’unité et de pérennité qui sera l’enjeu des confrontations à venir. […]