L’histoire se situe aux confins d’un pays qui interdit toute musique : “Ernest et Célestine”, personnages classiques de la littérature enfantine, reviennent, mercredi 14 décembre, au cinéma pour une fable sur le totalitarisme qui prouve la vigueur de l’animation à la française. Avec ses “gribouillages animés” qui cultivent le charme du dessin artisanal, “Ernest et Célestine” fera face dans les salles pendant les vacances de Noël au “Chat Potté 2” de Dreamworks mais pas au traditionnel Disney de Noël, “Avalonia”, réservé à la plateforme de la firme américaine cette année. Le premier volet, sorti il y a dix ans sur un scénario de Daniel Pennac, a été l’un des succès de la décennie 2010 en matière d’animation française, séduisant 1,14 million de spectateurs en salles.

Dans ce nouveau “Ernest et Célestine : le voyage en Charabie”, les petits spectateurs retrouveront Célestine, la souris espiègle, qui brise par accident le […]