Ce gros pavé de 600 pages, je l’ai lu il y a quelques années dans un train, une semaine où j’étais malade et il avait été un meilleur compagnon de convalescence que les antibiotiques. C’est ma voisine qui me l’avait prêté après que je sois allée voir l’adaptation cinématographique avec ma mère. Cela avait été un bon moment de cinéma, un feel good movie comme on les aime. Cette année, on honore la mémoire de Martin Luther King, tombé sous les balles racistes, il y a cinquante ans à la terrasse d’un hôtel à Memphis, Tennessee, le 4 avril 1968. Ma mère nous a parlé de lui quand nous étions enfants, mon frère et moi, et les moniteurs des colonies de vacances protestantes que j’ai fréquenté adolescente,  nous ont sensibilisé à son attachement à la non-violence tirée des Évangiles à l’image de Jésus,  mais aussi de […]