Le résumé :

C’est une histoire vraie, celle de Bart Millard, le chanteur du groupe américain Mercy me. Il a grandi au Texas auprès d’un père violent et alcoolique qui a fait fuir la maman de Bart, une des scènes assez difficiles du film. On compatit à la brûlure que cette douleur cause au petit garçon qui court après le camion de déménagement et qui croit que c’est de sa faute.

Sa petite amie veut l’épauler car elle se soucie de Bart et de son père, mais la honte que ressent cet enfant battu l’isole tellement que Shannon va s’éloigner de lui, lassée de son comportement froid et distant. Il va fuir en tournée avec un groupe de louange chrétienne Mercy me et ce sera le début d’un long travail introspectif en chanson.

Mon avis :

La voix du pardon est tout sauf une petite rêverie  chrétienne, pleine de bons sentiments, malgré les apparences. Les scènes où Bart, enfant, puis jeune adulte est violenté, sont pénibles à voir. Les réalisateurs, les frères Erwin, sont arrivés à montrer l’atmosphère vraiment toxique d’un foyer dysfonctionnel où la maman a fui à toutes jambes.

Le personnage le plus intéressant est bien sûr, […]