« Le Maquis Bir-Hakeim », raconte l’odyssée du plus prestigieux des maquis du Midi languedocien, celui qui, aussi, a compté le plus de martyrs. Créé dans la région de Toulouse, ce groupe de l’Armée Secrète du mouvement « Combat » pérégrina de Villefranche-de-Rouergue, dans l’Aveyron, à Douch, dans l’Hérault, ensuite au Benou, dans les Basses-Pyrénées, de là dans l’est du Gard, près de Méjannes-le-Clap et en basse Ardèche, puis dans les Cévennes, enfin sur le causse Méjean où, le 28 mai 1944, il devait connaître un funeste destin.
Après la tragédie de La Borie – La Parade, ce fut, au cirque de Mourèze la résurrection du maquis Bir-Hakeim et son triomphe lors de combats libérateurs de la seconde quinzaine d’août 44.