Le Jésuite Joseph Moingt est un homme remarquable, non seulement parce qu’il a cent trois ans et toute sa vigueur intellectuelle, mais parce qu’il a écrit des ouvrages marquants, dont quatre volumes impressionnants, sous les titres L’homme qui venait de Dieu et Dieu qui vient à l’homme où, pour résumer trop brièvement son propos, il relisait toute la théologie en direction d’une société marquée la mort de Dieu en privilégiant, à la façon de Karl Barth, une Bonne Nouvelle libérée du carcan de la religion.
Son tout récent ouvrage, peut-être pas le dernier, s’adresse à […]