Indépendamment de l’intérêt de cette étude pour l’histoire des religions et pour la connaissance des pratiques cultuelles de l’Israël ancien, ce commentaire a aussi une portée théologique en ce qu’il démonte un certain nombre d’interprétations traditionnelles encore admises de nos jours, notamment l’idée selon laquelle l’institution sacrificielle aurait eu pour fonction principale d’apaiser la colère divine.

Ce que démontre, entre autres, ce commentaire est que le sacrifice est fondamentalement un repas offert à Dieu en tant qu’hôte de marque que l’on veut honorer de la sorte, un Dieu qui est foncièrement bienveillant à l’endroit de son peuple.

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