Milann doit effectuer 300 heures de travaux d’intérêt général dans une maison de retraite pour éviter la prison. Au début, il y va à contrecœur mais très vite les pensionnaires l’adoptent et lui apprennent plein de choses sur la vie. A leur contact, il évolue, mûrit et s’attache à eux. Au bout de quelque temps, Milann découvre que les pensionnaires, curieusement, sont tous sans famille. Il flaire une arnaque et commence à fouiller…
Les bonnes comédies sont rares, en voici une. Après Et si nous vivions tous ensemble de Stéphane Robelin en 2010, nous plongeons à nouveau dans l’univers des personnes âgées. Ici aussi, ce sont les vieux – appelons un chat un chat – qui ont du punch et qui apprennent à ce jeune […]