Cela commence par le monologue d’un homme filmé de dos, qui arpente d’un pas rapide un de ces magnifiques chemins de Toscane, bordé de cyprès et entouré d’oliviers séculaires. Michel-Ange Buonarroti exprime sa colère à l’égard de Rome, du Vatican, et de Florence, lieu de pouvoir et de débauche. Mais l’artiste n’a jamais manqué de travail car les commandes affluaient, des Papes, des Médicis, des riches familles d’Italie. A tel point qu’il avait du mal à terminer ses oeuvres. Une ombre tutélaire accompagne sans cesse l’artiste, celle du […]