Muse de Michel Berger, lequel avait grandi dans une famille judéo-protestante (Haas-Hamburger), France Gall avait su dépasser le simple « divertissement » pour traiter, dans ses chansons populaires des années 1980, d’enjeux de développement, d’interculturalité, d’écologie.
Avec Michel Berger, elle portait une attention toute particulière pour l’Afrique subsaharienne, qu’elle avait appris à connaître en profondeur, au travers de titres comme Babacar ou Azima.
N’hésitant pas à questionner les évidences consuméristes (chanson « Résiste« , 1981), elle interrogeait ainsi ses contemporains: « Tant de libertés pour si peu de bonheur ».
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