Le 22 juillet, Ozzy Osbourne (John Michael Osbourne) s’est éteint. Celui qui était surnommé le «Prince des ténèbres» est décédé entouré de ses proches, deux semaines après son spectacle d’adieu en compagnie de ses anciens comparses du groupe Black Sabbath, pionniers du heavy metal dans les années 1970.

Mon contact avec la musique d’Ozzy

Mon adolescence a été marquée par l’exploration musicale. Des groupes hard rock, comme Deep Purple, Grand Funk Railroad, et Alice Cooper ainsi que Black Sabbath faisaient partie de ma liste d’écoute, tant sur disque que sur les radios québecoises CFDA et CHOM-FM. Mon premier contact avec Black Sabbath, c’était avec un autre étudiant de l’Ecole Monseigneur Côté à Victoriaville, qui écoutait leur musique entre les cours à l’aide de son petit lecteur à cassettes. Le premier morceau de Black Sabbath que j’ai entendu, c’est le seul morceau où, selon ma mémoire, Ozzy Osbourne jouait de l’harmonica: «The Wizard», sur leur premier album éponyme sorti en 1970. Sur ce même album, je me souviens aussi de «Wicked World». 

A la radio, on entendait en 1970-1971 des pièces très populaires de leur nouvel album sorti la même année, «Paranoid»: «Iron Man», «Electric Funerals» et «Paranoid». Quelques-uns de mes amis possédaient le nouvel album sorti en 1971, «Master of Reality», que j’ai entendu quelquefois mais que je connais moins. Le côté sombre des thèmes abordés ne surprenait personne. C’était, pour ainsi dire, leur marque de commerce […]