Napoléon confirme les acquis révolutionnaires en matière de liberté religieuse.

Dans un désir de paix avec le pape, il rétablit en 1801 le catholicisme en France, mais non son exclusivité. Il n’est plus « religion de la France » mais « religion d’une majorité des Français ». Désacralisé ainsi, il devient l’égal des autres confessions.

Napoléon n’a pas de goût particulier pour le culte catholique. Il regrette parfois que le roi François 1er n’ait pas adopté la foi protestante, ce qui aurait, d’après lui, évité […]