Assez vite nous sommes plongés dans la confusion. Nous n’arrivons pas à repérer qui est qui, même si ce sont toujours les mêmes personnages. Assez vote on en vient à penser que le cinéma japonais est bien compliqué pour nos petites cervelles occidentales. Heureusement, le réalisateur nous donne la clé dans la revue de presse qui accompagne son film : « En racontant une histoire d’amour de manière linéaire, de la rencontre à la rupture, je craignais qu’elle soit un peu médiocre ou qu’on ait l’impression de l’avoir déjà vu mille fois. (…) C’était aussi une manière de déplacer les attentes du spectateur. Finalement en évacuant assez vite la question […]