Le film débute par la fête joyeuse des 80 ans du mari de Rose. Mais c’est une scène avant le générique de début, pour bien marquer que le film commence vraiment après la mort du mari bienaimé. Rose est détruite par cette perte et on va la voir se reconstruire lentement.
La réalisatrice filme avec beaucoup de tact et d’amour cette métamorphose. Elle sera progressive et la Rose va par exemple au restaurant avec sa fille, puis y retourne pour boire un café, seule cette fois, et c’est pour la première fois de sa vie. Elle va aussi se mettre à se maquiller, s’essayer à un joint avec une nonagénaire délurée et surtout, à nouveau, danser ces danses orientales, chaloupées et lascives. Elle va même […]