A Djibouti plus qu’ailleurs, le temple a un rôle important d’ancrage pour une communauté protestante constituée au gré des mouvements de populations, et dont les membres restent rarement dans le pays plus de quelques années. Le bâtiment, en chantier depuis quatre ans pour des rénovations lourdes, a été inauguré le 6 novembre en présence de Bernard Antérion, président de la Ceeefe (Commission des Églises évangéliques d’expression française à l’extérieur) et Jean-Luc Blanc, responsable du service Relations et Solidarités Internationales au Défap.

Il aura fallu neuf ans pour mener à son terme le chantier de l’Église protestante évangélique de Djibouti (Eped). Neuf ans pour reconstruire logement de l’administrateur de l’Eped, presbytère, salle paroissiale… et surtout pour rénover le temple, qui nécessitait une intervention lourde, et sur lequel les travaux auront duré quatre ans jour pour jour, d’octobre 2013 à novembre 2017.

Son inauguration a eu lieu le dimanche 6 novembre, lors d’un culte présidé par Bernard Antérion, président de la Ceeefe (Commission des Églises évangéliques d’expression française à l’extérieur) et Jean-Luc Blanc, responsable du service Relations et Solidarités Internationales au Défap. Étaient également présentes plusieurs personnalités djiboutiennes dont l’ambassadeur de France accompagné d’une délégation dont la Conseillère de Coopération et d’Action Culturelle (COCAC), des représentants de l’Église Catholique, une délégation militaire… sans oublier l’architecte qui avait porté et accompagné le projet tout au long de ce chantier au long cours, Nicolas Westphal. […]