… et son obsession paraît être de ne jamais ouvrir son portefeuille ni désormais celui de chaque Américain, mais de drainer les richesses de la planète entière dans le vortex dévastateur de la dette américaine.

Nous parlons de vortex parce que cette dette est depuis 1971 universellement payable en dollars américains indexés sur eux-mêmes et au demeurant facilement multipliables, si on n’y prend garde, au moyen de la planche à billets, voire par addition de zéros en bout de chiffres sur les écrans. D’où les chiffres invraisemblables sans cesse jetés par Trump à la face du monde : fake news, fake recettes et fake dettes. La planète paiera. Déjà elle s’essouffle, elle s’époumone ; et les peuples suffoquent, tantôt obèses, tantôt le ventre gonflé par la faim, tantôt jetés gueule ouverte à la mer.

Ce retrait s’abrite en outre sous le prétexte des dettes d’autrui, alors que chacun connaît le montant abyssal de la dette de l’État fédéral américain ! […]