L’espérance sort ainsi de son langage spécifiquement théologique. Elle est rejointe par des textes qui ne parlent pas d’elle comme espérance en Christ, mais permettent de l’approcher et de se laisser porter par elle.
L’essai de Philippe Lançon, les romanciers Michael Ondaatje et Margaret Mazzantini, les théologiens Kathryn Tanner et Jürgen Moltmann sont embarqués dans ce voyage expérimental dont Paul Ricœur a eu l’intuition et dont la destination reste incertaine. Seule boussole: l’intuition que le temps ne porte pas à la fin mais à une autre vie.
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