Il m’est de plus en plus difficile de tenir le compte des jours. J’ai laissé filé les semaines sans tenir ce journal comme je l’aurais souhaité… Sans doute parce que les jours ressemblent au jour, tournés vers le travail pour Réforme, les repas, les coups de fil aux proches ou moins proches et le temps dans le jardin. L’arrivée du journal papier dans ma boîte aux lettres est un marqueur essentiel de ce temps hors temps, le signe que nous ne travaillons pas « pour rien ». J’imagine alors votre satisfaction de nous retrouver.

Rester vigilants

J’en suis d ‘autant plus heureuse que, il y a peu, j’ai pu mesurer combien la presse magazine était en berne. Certains numéros n’ont pas paru, d’autres sont réduits à […]