Il n’est pas possible d’allaiter son bébé si on est infecté par la Covid

Le site des Nations unies est formel : le lait maternel n’est pas un moyen de transmission du virus au bébé. Il précise que le risque de transmission est, de ce fait, très faible. Voulant rassurer les parents au maximum, il rappelle que si un bébé venait à contracter le virus, il le déclarerait de manière très légère.

Le vaccin vous dispense des gestes barrière

C’est faux ! Si la vaccination limite la transmission de la Covid-19, elle permet également d’éviter les formes graves. Mais, couplée avec les gestes barrières, l’injection du sérum est le meilleur moyen d’interrompre la transmission du virus, indique le site des Nations unies. Leur respect s’avère tout particulièrement important quand vous côtoyez des personnes qui n’ont pas encore été vaccinées.

La Bétadine ne sert à rien

Alors que les antivax américains assurent à qui veut le croire que la bétadine – dont il existe une version orale -, prévient et guérit la Covid-19, Avrio Health, la marque qui commercialise la solution antiseptique, alerte sur sa dangerosité en cas d’ingestion, rapporte la rubrique Sciences du Figaro. La solution doit uniquement être utilisée pour se gargariser en cas de légers maux de gorge. Quant à ceux qui se risqueraient à boire la solution classique, ils risquent de la fièvre, des maux de tête et même de sévères vomissements.

L’hygiène suffit à faire disparaître les maladies

Si l’hygiène participe à tenir les maladies à distance, elle n’est malheureusement pas suffisante pour les faire disparaître, comme le rappelle le site les Vaxxeuses, reconnu d’utilité publique. Pour preuve, toutes les maladies n’ont pas disparu en même temps. En France, par exemple, la diphtérie à régresser fortement dès 1940, mais il a fallu patienter jusqu’aux années 1950 pour voir la polio reculer. La rougeole, la rubéole et les oreillons se sont quant à eux faits plus rares après 1987, alors que le nombre de cas de pneumocoque diminue depuis le début des années 2000.

Pour concevoir les vaccins, des femmes ont été encouragées à avorter

Comme l’expliquait Réforme en décembre 2020, des étapes de la conception de vaccins contre la Covid-19 ont nécessité le recours à des cellules issues d’embryons avortés. Le site les Vaxxeuses confirme que les lignées cellulaires utilisées proviennent d’un fœtus humain avorté puis maintenu en culture depuis plus de cinquante ans. L’élaboration des vaccins n’a donc pas nécessité l’utilisation de foetus issus d’avortements. Et, bien entendu, les femmes n’ont pas été encouragées à avorter plus, pour servir la science.